
Portraits d’étudiants P32

Léa STARASELSKI
P 32 (2020-2021)
“La formation d’éco-conseillère me permettra de me professionnaliser dans un secteur essentiel pour notre futur commun, en proposant et pilotant des solutions”.
Mon parcours avant la formation
J’ai un parcours universitaire principalement centré sur les Sciences Humaines (Histoire / Philosophie), Lettres, Langues et Relations Internationales.
Je suis aussi investie parallèlement au niveau associatif, pour des causes qui me semblent essentielles : l’écologie, l’inclusion sociale et l’égalité.
Mes motivations à suivre la formation d’éco-conseiller
Acquérir des outils et un savoir-faire essentiel pour mieux comprendre les enjeux du Développement Durable, développer mon savoir-être aux côtés des autres élèves de la promotion.
Mes pistes de missions professionnelles
Je suis ouverte à tout projet plaçant le développement durable et la protection de l’environnement au coeur de son objectif.
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Priscille CADART
P 32 (2020 – 2021)
“J’ai choisi cette formation en vue d’acquérir une légitimité pour accompagner les entreprises dans la transition écologique, construire un réseau, rencontrer les acteurs locaux de la transition.”
Mon parcours avant la formation
Ingénieure génie électrique, 2 ans dans la supply chain d’un grand groupe industriel, puis 2 ans dans la formation technique.
Mes motivations à suivre la formation d’éco-conseiller
Acquérir une légitimité pour accompagner les entreprises dans la transition écologique, construire un réseau, rencontrer les acteurs locaux de la transition.
Mes pistes de missions professionnelles
Accompagnement d’entreprises industrielles dans leur réflexion sur l’économie circulaire (économie de la fonctionnalité, écologie industrielle, etc.), formation aux différents enjeux de la transition écologique
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Jacques DELAMARRE
P 32 (2020 – 2021)
“J’ai souhaité rejoindre la formation pour compléter et élargir mes compétences en écologie (…) la diversité des parcours me permet de m’intégrer dans un réseau d’entraide local”
Mon parcours avant la formation
Avant de rejoindre la formation, j’ai obtenu un Master en Architecture à l’ENSAS à la suite duquel j’ai eu la chance de passer 2 ans en Australie pour explorer les méthodes pionnières de la permaculture et de l’agriculture durable au nord de Melbourne.
Mes motivations à suivre la formation d’éco-conseiller
J’ai souhaité rejoindre la formation pour compléter et élargir mes connaissances en écologie et comprendre le contexte français pour légitimer les savoirs diffus accumulés au fil de mes expériences. De plus, l’émulation du groupe et la diversité des parcours me permet de m’intégrer dans un réseau d’entraide local.
Mes pistes de missions professionnelles
Je souhaiterai poursuivre mon parcours par le mélange de mes études initiales et de ces nouvelles connaissances en travaillant dans le réemploi de matériaux de construction et la conception durable des bâtiments, des centres urbains et des territoires.
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Fanny VARAGO
P 32 (2020-2021)
“(…) je voulais m’investir professionnellement en devenir une vraie actrice de la transition, notamment en développant l’économie circulaire.”
Mon parcours avant la formation
Étant une jeune juriste en droit de la propriété intellectuelle, j’ai décidé de réaliser mon rêve d’expatriation en partant deux ans au Canada.
J’ai travaillé dans divers domaines là-bas tels que la banque et l’intelligence artificielle.
Mes motivations à suivre la formation d’éco-conseiller
J’ai eu un déclic sur l’impact de notre consommation sur l’environnement et notre santé, qui m’a amené à bouleverser pas mal de choses dans mon quotidien et à me renseigner sur l’écologie. J’en suis venue à la conclusion que je voulais m’investir professionnellement en devenant une vraie actrice de la transition, notamment en développant l’économie circulaire.
Mes pistes de missions professionnelles
Je recherche des postes tels que chargée de mission en économie circulaire, déchets pour des collectivités. Travailler sur la transition alimentaire me passionnerait également, mais cela se fera très certainement plus tard au fil de ma carrière.
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Martin SELTZ
P 32 (2020-2021)
“Je veux contribuer à construire un futur désirable pour les prochaines générations.”
Mon parcours avant la formation
Ayant besoin de faire le lien entre la théorie et les applications concrètes j’avais décidé qu’après mon baccalauréat scientifique, je réaliserais des études courtes pour être confronté à la réalité du terrain. Mais de fil en aiguille, désirant pouvoir évoluer et avoir des responsabilités, j’ai fini par obtenir un Master à l’École Supérieure de Commerce (ESC) de Rennes. En parallèle, je me suis investi dans une association d’éducation populaire (scoutisme) pour laquelle j’ai été adhérent, bénévole, puis président et directeur de séjour d’accueil de mineurs.
Professionnellement, j’ai été vendeur de meuble, cuisiniste, responsable marketing d’un magasin IKEA et j’ai réalisé une année de césure durant mon Master ; année qui m’a permis de travailler chez Orange Business Services dans une équipe transversale, ayant pour objectif de mettre en place une nouvelle filiale. Puis, j’ai travaillé à Singapour dans le digital, intégré à l’équipe chargée du développement du catalogue de produits en ligne chez Court Mégastore. A la suite de mes études, j’ai travaillé pendant 4 ans dans des start-ups de divertissement, où j’ai eu de multiples casquettes : commercial, responsable maintenance, responsable achats, responsable logistique et manager.
Mes motivations à suivre la formation d’éco-conseiller
Sensibilisé à la nature et l’environnement de par mon engagement associatif, j’ai toujours été attentif à l’écologie. Je me souviens avoir vu La vérité qui dérange d’Al Gore, au lycée. Ça m’a marqué, mais ce n’était pas clair. Quel était le réel l’enjeu ? Pourquoi le réchauffement climatique était-il si grave et urgent ?
Puis j’ai découvert les conférences de J.M. Jancovici, de P. Servigne et la pensée Low Tech de P. Bihouix… Bouleversé au départ, j’ai commencé à réfléchir : à mon impact personnel, à notre impact global sur la planète.
En quittant mon travail dans le divertissement, j’avais décidé que mon métier d’après me permettrait d’aider à faire changer les choses. Je voulais contribuer à construire un futur désirable pour les prochaines générations. La formation d’éco-conseiller s’est imposée comme le chemin le plus rapide pour atteindre cet objectif.
Mes pistes de missions professionnelles
Je n’ai pas encore de piste claire. De nombreux sujets m’intéressent : la mobilité durable, l’habitat durable, la réduction des émissions de carbone, l’agriculture durable, la santé environnementale.
Je me laisse le temps de trouver la voie qui me permettra d’avoir l’impact le plus décisif. C’est l’avantage de cette formation : elle permet de découvrir un large éventail de sujets et de se mettre en relation avec un grand nombre d’acteurs associatifs, en collectivité publique ou avec le monde économique.
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Sarah FOXX
P 32 (2020-2021)
“C’est une formation stimulante à tous les niveaux : elle me déplace et m’enrichie.”
Mon parcours avant la formation
Après un baccalauréat scientifique, je me suis lancée dans des études de théologie à l’université de Strasbourg. J’ai découvert dans mon cursus la théologie “verte” qui m’a passionnée et interpellée.
En parallèle de mes études, j’ai travaillé pour la Fédération de l’Entraide Protestante qui rassemble des acteurs issus des secteurs sociaux, médico-sociaux et sanitaires et qui œuvrent ensemble pour une société plus juste et solidaire. J’ai obtenu mon master de théologie appliquée en 2017.
Mes motivations à suivre la formation d’éco-conseiller
La formation d’éco-conseiller me permet de compléter mon parcours universitaire en nourrissant ma réflexion et en élargissant mes perspectives professionnelles par une approche transversale et pratique du développement durable. C’est une formation stimulante à tous les niveaux : elle me déplace et m’enrichie. J’attends de cette année, un peu à part, de recevoir afin de pouvoir redonner par la suite.
Mes pistes de missions professionnelles
Comme tous les autres pans de la société, les communautés chrétiennes et les associations caritatives se mobilisent de plus en plus en écologie : c’est réjouissant ! En réponse à cet élan, le label Eglise Verte a été créé en 2017. Ce mouvement de transition a maintenant besoin de personnes prêtes à l’accompagner et à le faire vivre.
Je pense que la formation d’éco-conseiller me donnera tous les outils nécessaires pour mener à bien cette mission. Plus largement, j’ai à coeur d’oeuvrer pour la justice climatique et j’espère que mon futur métier pourra pleinement intégrer ces enjeux.
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Christian MOREL
P 32 (2020 – 2021)
“Ajouter ce pillier environnentale à mes compétences pour continuer à m’épanouir et être acteur pour un autre demain”.
Mon parcours avant la formation
Après des études d’ingénieur en mécanique et production, j’ai tout d’abord rejoins une entreprise dans le domaine du façonnage du verre (bâtiment principalement), puis un grand groupe industriel travaillant majoritairement pour l’automobile.
J’ai toujours manager des équipes, tout d’abord en production, puis dans différents services supports.
Avant de rejoindre la formation d’éco-conseiller, mes activités étaient orientées sur le Lean, les groupes de travail, les projets d’amélioration, la stratégie d’entreprise.
Mes motivations à suivre la formation d’éco-conseiller
Je souhaite donner un sens plus fort à mes activités professionnelles, et surtout un sens qui corresponde plus à ce que mon coeur me dit. Et lorsque j’abordais les sujet RSE dans mon entreprise, je sentais qu’il me manquait une vue “globale” du développement durable.
Lorsque j’ai eu l’opportunité de quitter mon employeur dans le cadre d’un plan de départ volontaire, je me suis dit que cette formation était l’occasion d’ajouter ce pillier environnentale à mes compétences pour continuer à m’épanouir et être acteur pour un autre demain.
Mes pistes de missions professionnelles
Je me laisse surprendre par les thèmes que nous abordons en formation et cherche à m’ouvrir le champs des possibles.
Après 20 ans d’industrie classique, je pense profiter de cette période de mission professionnelle pour mettre à profit mes compétences dans des types de structure que je ne connais pas de l’interieur (organisations territoriales, association, syndicat mixte, …).
J’adore la gestion de projets, la mise en relation des personnes, la recherche de synergies, ainsi que les sujets stratégiques. Et je suis quelqu’un du monde rural. Les rencontres que nous faisons pendant ce cursus et ces ingrédients m’emmeneront naturellement vers une belle expérience.
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Florian CHABAUD
P 32 (2020 – 2021)
“(…) il me manquait une vision d’ensemble pour mieux intégrer les enjeux de la transition écologique”.
Mon parcours avant la formation
Diplômé Ingénieur en Génie des Procédés à l’INP-ENSIACET en 2018, je m’empresse de me jeter dans le monde professionnel avec un premier contrat d’un an dans l’industrie pharmaceutique. Mais rapidement, des interrogations s’installent : Quel sens a mon travail ? Est-ce que ce que je fais va dans le sens du monde auquel j’aspire ?
Le besoin de prendre du recul et de partir à l’aventure se faisant sentir, j’entreprends un voyage humanitaire de 6 mois en Asie. Au Cambodge et au Népal je travaille en tant que volontaire dans des associations pour le développement des communautés rurales et la protection de l’environnement. J’y découvre des préoccupations bien loin de celles de notre monde. A mon retour, je n’ai plus qu’une idée en tête : concrétiser ma volonté de m’investir pour la protection de l’environnement.
Mes motivations à suivre la formation d’éco-conseiller
Mes études d’ingénieur m’ont apporté de la méthode et de bonnes bases scientifiques, mais il me manquait une vision d’ensemble pour mieux intégrer les enjeux de la transition écologique.
De plus j’avais envie de découvrir des projets concrets portés par des gens qui s’investissent dans le développement durable pour mieux cerner les possibilités de débouchés qui s’offrent à moi.
La diversité de thèmes abordés et de profils des intervenants proposée par le Mastère éco-conseiller m’ont donc convaincu de suivre cette formation.
Mes pistes de missions professionnelles
L’éventail des métiers possibles après la formation est tellement large qu’il est encore compliqué pour moi d’en privilégier un plutôt qu’un autre.
Ce que je sais à ce jour, c’est ma volonté de m’engager à l’échelle locale et d’œuvrer sur un projet écologique tout en sensibilisant le grand public. Mes thèmes de prédilection sont la lutte contre le gaspillage alimentaire, la gestion des déchets, l’alimentation durable …
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Lucien BACH-AUZET
P 32 (2020 – 2021)
“J’attends avec impatience les modules qui vont traiter de l’urbanisme, de la mobilité et du numérique”.
Mon parcours avant la formation
Diplômé de l’école d’ingénieur ENSIACET en génie des Procédés, j’ai travaillé 5 ans chez un éditeur de logiciel de gestion de projets.
Mes motivations à suivre la formation d’éco-conseiller
L’envie d’acquérir des connaissances variées afin d’appréhender les enjeux environnementaux, et de trouver un travail qui me permette d’agir à mon échelle.
Mes pistes de missions professionnelles
Pour l’instant, j’ai du mal à me projeter sur une mission en particulier, mais je suis intéressé par de nombreux domaines, et j’attends avec impatience les modules qui vont traiter de l’urbanisme, de la mobilité et du numérique
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Colas QUINTARD
P 32 (2020 – 2021)
“L’évidence d’une reconversion professionnelle s’est imposée et la formation d’éco-conseiller m’est apparu le meilleur chemin”.
Mon parcours avant la formation
Avant d’intégrer le Mastère, j’étais salarié d’une grande entreprise de transport ferroviaire. J’occupais un poste d’encadrement au sein de la partie Administration du personnel des Ressources Humaines d’un établissement de production, après un passage aux relations sociales et à la GPE. Un parcours varié et dense.
Mes motivations à suivre la formation d’éco-conseiller
Peu à peu, j’ai perdu le sens de mon action au quotidien alors que grandissait la nécessité d’agir en cohérence avec mes convictions.
J’ai réalisé un bilan de compétences, puis j’ai mûri mon projet. L’évidence d’une reconversion professionnelle s’est imposée et la formation d’éco-conseiller m’est apparu le meilleur chemin.
Mes pistes de missions professionnelles
Je souhaiterais aller vers l’associatif et intervenir soit dans une démarche de sensibilisation, soit en partenariat avec des collectivités ou d’autres associations.
J’ai un thème de prédilection : le système alimentaire car il rassemble de nombreux enjeux.
Toutefois, je préfère rester ouvert aux opportunités.
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Ludovic GRASSL
P 32 (2020 – 2021)
“Une culture générale plus vaste et un réseau plus riche m’accompagneront pour être un acteur de la transition vers un monde durable.”
Mon parcours avant la formation
Diplômé en Génie Industriel en 2003, j’ai travaillé pendant plus de 15 ans dans les services géophysiques.
Mes motivations à suivre la formation d’éco-conseiller
La formation d’éco-conseiller m’a attiré par son contenu pédagogique riche et ses applications concrètes.
La dimension pratique de la formation permet de se projeter dans un environnement professionnel, afin de découvrir de nouveaux horizons.
J’apprécie également le partage de savoir avec les nombreux intervenants et les étudiants.
Une culture générale plus vaste et un réseau plus riche m’accompagneront pour être un acteur de la transition vers un monde durable.
Mes pistes de missions professionnelles
Développement d’outil à l’éducation populaire
Conseil aux entreprises
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Élodie CORDIER
P 32 (2020 – 2021)
“Accompagner en amont les diverses structures dans leurs prises de décision ainsi que dans leurs démarches de sensibilisation…”
Mon parcours avant la formation
Titulaire d’un Master II en communication, j’ai travaillé une douzaine d’années dans la communication éditoriale, essentiellement en agence. En tant que chargée de projet, puis directrice de projets (avec une dimension management d’équipes), j’ai œuvré aussi bien en B to B qu’en B to C pour différents types de structures (associations, PME, grandes entreprises).
Ce fut l’occasion de traiter de multiples problématiques dans les secteurs du bâtiment, de l’énergie, de l’alimentation animale, des technologies (ex : BIM), des transports…
Mes motivations à suivre la formation d’éco-conseiller
Au fil de mes expériences, j’ai pu observer la place croissance des enjeux du développement durable dans les différents secteurs.
Déjà sensibilisée à cette thématique sur le plan personnel, j’ai décidé de suivre la formation d’éco-conseiller, afin de pouvoir accompagner en amont les diverses structures dans leurs prises de décision ainsi que dans leurs démarches de sensibilisation.
Mes pistes de missions professionnelles
Après quelques mois de formation, j’ai commencé à définir doucement les missions que j’aimerais mener (travail d’intelligence collective entre divers acteurs d’un même projet, stratégies de sensibilisation, accompagnement au changement, etc.), sans pour autant avoir un poste précis en tête à ce stade.
J’envisage toutefois de m’orienter vers des entreprises ou des collectivités territoriales.
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Jonathan ANZIANO
P 32 (2020 – 2021)
“Je me laisse le temps de la formation pour mûrir mon projet.”
Mon parcours avant la formation
Après un diplôme d’ingénieur en Génie Civil, j’ai travaillé près de 15 ans dans le domaine du logement social, en tant que responsable de projets immobiliers.
Mes motivations à suivre la formation d’éco-conseiller
Depuis quelques temps, mon métier ne me passionnait plus et je voulais surtout pouvoir être acteur du développement durable. Le master d’éco-conseiller m’a paru la formation idéale pour cela !
Mes pistes de missions professionnelles
Je souhaite soit créer une entreprise de l’économie sociale et solidaire, soit être éco-conseiller dans une collectivité territoriale afin de l’accompagner dans la transition écologique. Mais je me le laisse le temps de la formation pour murir mon projet.
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Paul CARON
P 32 (2020 – 2021)
“Recréer de la convivialité, améliorer le vivre ensemble, c’est pour moi un des enjeux importants”.
Mon parcours avant la formation
J’ai obtenu un diplôme d’ingénieur en génie civil de l’INSA Strasbourg en 2008. Mon parcours professionnel s’est ensuite concentré sur des postes de conducteur d’opérations de travaux en maîtrise d’ouvrage publique et semi-publique.
Il s’agissait principalement d’organiser des travaux (projet/contrat d’études et de travaux, suivi des travaux). J’ai travaillé notamment pour des installations portuaires en Vendée, des parkings à Strasbourg et la communauté d’agglomération d’Haguenau.
Mes motivations à suivre la formation d’éco-conseiller
Travailler pour le bien public est ce qui me motive depuis le début de ma carrière. Mais j’ai l’impression que face aux défis climatiques et environnementaux qui se présentent, il faut aller plus loin et plus fort que ce qui a été fait jusqu’alors. En ce sens, je souhaite être de ceux qui participeront aux solutions, et non aux problématiques. Et la formation d’éco-conseiller me permet de balayer en quelques mois tous les spectres du sujet et d’avoir une vision large des enjeux. Nous comprenons assez vite que tout est lié, et que l’humain est au cœur des problèmes, mais aussi des solutions. Ce n’est pas la technique qui nous sauvera, mais notre changement de regard sur le monde et sur la vie.
Mes pistes de missions professionnelles
Pour ma période de mission professionnelle, j’aimerai pouvoir travailler dans un organisme qui participe à tisser du lien entre les gens. Recréer de la convivialité, améliorer le vivre ensemble, c’est pour moi un des enjeux importants que nous avons actuellement. Nous pouvons prendre du plaisir autrement que par la consommation, tout simplement en passant du temps avec les autres. J’ai aussi conscience que mon parcours professionnel dans le BTP a une valeur intéressante pour participer à toutes les réflexions dans ce domaine : habitat durable, rénovations énergétiques, gestion des déchets du BTP… Idéalement, pourquoi pas croiser ces deux thématiques.
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Pierre-Julien KIRSCH
P 32 (2020 – 2021)
“Acquérir une vision globale des problématiques environnementales pour accompagner au mieux les organisations dans leur démarche de transition écologique”.
Mon parcours avant la formation
– Formation d’ingénieur dans le numérique
– 4 ans d’ingénierie en conception électronique
– Un voyage de 7 mois à travers l’Amérique du Sud
Mes motivations à suivre la formation d’éco-conseiller
– Me reconvertir dans un métier porteur de sens et en accord avec mes valeurs
– Acquérir une vision globale des problématiques environnementales et les outils indispensables pour accompagner au mieux les organisations dans leur démarche de transition écologique.
Mes pistes de missions professionnelles
Travailler dans un bureau d’études de conseil en environnement ou directement au sein de l’équipe. J’aimerai travailler sur les sujets tels que la stratégie bas-carbone, l’économie circulaire, la sensibilisation à l’environnement.
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Aboley Grace DIBY
P 32 (2020 – 2021)
“les compétences acquises et à acquérir seront d’une très grande utilité pour mon pays, tant les pays du sud ont besoin d’accélérer leurs progrès”.
Mon parcours avant la formation
Diplômée d’un master en Géographie Environnementale co-accrédité par l’UNISTRA et l’ENGEES, j’ai ensuite fait une immersion dans le domaine du management HSE lors d’une formation à L’ISEADD (Lognes).
Les questions de transition énergétique, du développement durable et inclusif ont toujours été essentielles à mon choix de carrière.
Je suis aussi membre d’un comité de promotion du patrimoine Ivoirien (JIPARVI) et d’un autre pour l’entrepreneuriat des femmes africaines de par le monde (JIEFA).
En effet, il permet de connaître les structures et les acteurs clés pour mener à bien les projets en lien avec l’écologie et l’environnement.
Par ailleurs, originaire de la Côte d’Ivoire (Afrique de l’Ouest), les compétences acquises et à acquérir seront d’une très grande utilité pour mon pays, tant les pays du sud ont besoin d’accélérer leurs progrès en se basant sur la mise en œuvre des objectifs de développement durable (ODD).
Mes pistes de missions professionnelles
Mon objectif est d’aboutir à la création d’un cabinet de conseil spécialisé dans l’accompagnement au changement et à l’adaptation aux ODD surtout dans les pays du Sud.
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Aude COULOMBEL
P 32 (2020 – 2021)
“Acquérir des compétences de gestion et facilitation de projets et construire un réseau”.
Mon parcours avant la formation
Ingénieure en agriculture, sur un poste communication et valorisation de la recherche en agriculture biologique.
Mes motivations à suivre la formation d’éco-conseiller
Acquérir un socle de connaissances transversales sur les questions environnementales et des compétences de gestion et facilitation de projets et construire un réseau.
Mes pistes de missions professionnelles
M’impliquer dans la réalisation de projets de transition écologique, dans un premier temps auprès de collectivités territoriales, sur la protection de l’eau et des milieux naturels, l’urgence climatique, la végétalisation urbaine, la sensibilisation des publics à l’environnement…
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